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Retour au challenge: Quel est votre roman préféré de Joël Dicker ?
La vérité sur l’affaire Harry Québert,
Titre mensonger s’il en fut.
On parlait beaucoup en ce temps-là de Joël Dicker et de son fameux roman qui caracolait en tête des listes, mais bon justement j’hésitais, préjugés… Sans doute trop facile, trop vite lu, en un mot trop populaire… préjugés. Bref, j’ai fini par m’y plonger. Et bien sûr, trop vite lu, à cela une bonne raison, une fois dedans on ne le lâche plus et sans cesse souffle cette petite voix habituelle aux lecteurs de polars qui suggère que vous saviez bien avant l’auteur même la résolution de l’affaire, petite voix sans cesse déjouée par le machiavélisme dudit auteur. On finit, comme après certains films à se dire qu’on n’a rien compris et qu’on ne sait rien. On a pataugé avec délectation dans cet embrouillamini, ravis de constater qu’on est moins malin qu’on ne le croit. Le héros, non, pardon le narrateur, est un écrivain en panne d’inspiration, ni le premier ni le dernier certes, cherche un mentor chez l’écrivain admiré, il rencontre un menteur, ou pas d’ailleurs. Et vogue la galère nous voilà embarqués dans le récit haletant, l’écriture nous berce, nous accompagne, on en oublie ses artifices (mais si tous les écrivains ont des trucs pour vous noyer). Je ne sais pas si Joël Dicker sait tricoter mais il entremêle ses fils sur un motif jacquard, composant une intrigue complexe et déroutante. Bon courage amis lecteurs, d’autant que l’individu, suisse, formé aux secrets derrière le blindage des coffres-forts, s’est permis de récidiver. Voyez la critique de mon éminent collègue Amorcas.
Bonne lecture…
Titre mensonger s’il en fut.
On parlait beaucoup en ce temps-là de Joël Dicker et de son fameux roman qui caracolait en tête des listes, mais bon justement j’hésitais, préjugés… Sans doute trop facile, trop vite lu, en un mot trop populaire… préjugés. Bref, j’ai fini par m’y plonger. Et bien sûr, trop vite lu, à cela une bonne raison, une fois dedans on ne le lâche plus et sans cesse souffle cette petite voix habituelle aux lecteurs de polars qui suggère que vous saviez bien avant l’auteur même la résolution de l’affaire, petite voix sans cesse déjouée par le machiavélisme dudit auteur. On finit, comme après certains films à se dire qu’on n’a rien compris et qu’on ne sait rien. On a pataugé avec délectation dans cet embrouillamini, ravis de constater qu’on est moins malin qu’on ne le croit. Le héros, non, pardon le narrateur, est un écrivain en panne d’inspiration, ni le premier ni le dernier certes, cherche un mentor chez l’écrivain admiré, il rencontre un menteur, ou pas d’ailleurs. Et vogue la galère nous voilà embarqués dans le récit haletant, l’écriture nous berce, nous accompagne, on en oublie ses artifices (mais si tous les écrivains ont des trucs pour vous noyer). Je ne sais pas si Joël Dicker sait tricoter mais il entremêle ses fils sur un motif jacquard, composant une intrigue complexe et déroutante. Bon courage amis lecteurs, d’autant que l’individu, suisse, formé aux secrets derrière le blindage des coffres-forts, s’est permis de récidiver. Voyez la critique de mon éminent collègue Amorcas.
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23/02/2024 13:25
Les bons auteurs de polar savent manipuler leurs lecteurs jusqu'à la fin et Joël Dicker ne fait pas exception à la règle!
23/02/2024 11:51
Lu, mais je ne m'en souviens plus tout à fait ! 🙄